Ce vendredi 5 mai à 13h20, le très attendu Sergey Lazarev s’est attelé à sa deuxième répétition sur la scène de Stockholm. Et bardaffe, ce fut l’embardée… Depuis le début de ses essais live, les problèmes techniques s’enchaînent. Qu’à cela ne tienne, le chanteur-performer a joué de ses atouts pour détourner l’attention. Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il aime ça, le petit canaillou…
Sergey Lazarev – Crédit photo: Vincent Bayer @eurovisionlovers
Stockholm, vendredi 5 mai 2016, 17 heures. Le temps est splendide et le centre-ville est inondé de lumière. L’équipe de Laura a donné rendez-vous à quelques journalistes belges dans le cadre bucolique d’un jardin en bordure de l’eau. Accompagnée de ses cinq choristes-danseurs, Laura est en plein forme. Passion, discussion, Eurovision…
Crédit photo: Vincent Bayer @eurovisionlovers
A l’issue de sa première session de répétitions sur la scène de Stockholm, Laura a rencontré les journalistes internationaux et s’est prêtée au jeu des questions & réponses, sans trop the « pressure »…
Crédit photo: Vincent Bayer @eurovisionlovers
Tout démarre sur les chapeaux de roue pour Laura Tesoro et l’ensemble de l’équipe de la délégation belge, fraîchement débarqués à Stockholm pour démarrer les répétitions et enchaîner les « meets & greets » avec la presse et les fans. Première répétition, premières éloges de la presse internationale présente, ça s’annonce top de chez top!…
Sans l’avantage de sélection automatique pour la finale en tant que pays du « big 5 », la France serait absente du Concours depuis un bon bout de temps… Après la gloire des années 60 et 70 et un regain de brillance au début des années 90, les années 2000 sont jalonnées de rétamages en bonne et due forme. Et ces deux dernières années, c’est franchement la bérézina. Mais pourquoi ? Focus sur le meilleur et le pire de la France au Concours Eurovision et tentatives d’explications, à l’heure où – une fois n’est pas coutume -tous les projecteurs européens semblent tournés vers le candidat français…
Alternance oblige, c’est au tour de la VRT de produire la participation belge pour le Concours Eurovision de la Chanson 2016. Lors d’une sélection nationale organisée en janvier, le public flamand a désigné la jeune Laura Tesoro pour succéder à notre adulé Loïc Nottet. Deux points communs les lient : la danse et The Voice. Portrait…
Pour ce 61ème Concours Eurovision – dont la finale aura lieu le samedi 14 mai à Stockholm – la France mise tout sur Amir, le jeune et beau méditerranéen au sourire qui tue, découvert lors de la troisième saison de « The Voice France ». D’après France 2 – officiellement en charge de cette participation française au plus glamour des shows de variété internationaux – le concept va cartonner et faire oublier les cuisants échecs de ces dernières années. Mais il y aura des concurrents de taille et parmi eux, des choix étonnamment très francophiles: l’Autriche présente une chanson 100% en français, Saint-Marin collabore avec le créateur français Manfred Thierry Mugler et le candidat chypriote, francophone, concourt en même temps pour The Voice France…
Amir, candidat français Eurovision 2016 – crédit photo: France Télévisions
Les 43 chansons des pays participants de cette années sont aujourd’hui toutes connues et les pronostics vont déjà bon train. Comme à l’accoutumée, les compétiteurs rivalisent de mises en scène déjantées, de pluies de paillettes et d’exhibitionnisme mis en scène par des tornades d’air pulsé qui soulèveront les robes des chanteuses extasiées et dévoileront les torses des danseurs sur-hormonés. Un mot d’ordre pour cette cuvée 2016: des beaux gosses en veux-tu en voilà. Topo sur les concurrents les plus dangereux et esquisse d’un potentiel top 10…
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